
Toutes ces données ont été publiées sur le site "The Private Bay" et sont en libre téléchargement.
Ils affirment ne pas avoir eu recours à une méthode très sophistiquée de piratage : une injection de SQL.
Leur but était de montrer la vulnérabilité du système de sécurité Sony qui avait affirmé avoir un système sûr et de réaliser régulièrement des contrôles.
De plus LulzSec affirme qu'aucune donnée n'était chiffrée ! Les données étaient telles quelles sur les serveurs, "il n'y avait plus qu'à se servir". A croire que Sony cherchait à se faire piraté.
Mon Dieu non que c'est pas possible...
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